Poèmes de Louanges

Merci pour la patience qui apaise les pleurs

Merci pour la provende qu'offre ton secours,

Merci pour cette annonce universelle

Je dis merci, pour la rosée du matin,

Merci pour la patience et le pardon,

Je n'ai pas d'imagination, tel le miroir

Je crois en toi comme l'aube sait le jour

Fransceco

Mais comment te dire avec de simples mots

Je parlerais les langues 1 cor 13

Et Toi et moi en Nous, l'envie redouble

Pourquoi ces zones d'ombre et de silence

N'écoute pas toujours tes habitudes

Non rien ne T'est impossible, Tu changes les coeurs

Merci

Merci pour la patience qui apaise les pleurs
Merci d'être si tendre pour apaiser nos peurs
Merci pour la confiance qui repose des peurs
Merci pour cette route parsemée de fleurs
Merci pour cette terre où s'allongent nos pas
Merci pour la lumière qui brille de ton éclat
Merci pour l'espérance qui réchauffe nos coeurs
Merci pour cette chance qui brille dans nos coeurs
Merci pour la promesse qui éclaire nos jours
Merci Merci pour nos vies réchauffées par l'amour.

Merci pour la provende qu'offre ton secours,
Merci pour le réconfort qu'apporte l'amour,
Merci pour cette joie, cette espérance,
Merci pour les rires de notre enfance,

Merci pour cette alliance éternelle,
Merci pour l'annonce de cette Nouvelle,
Merci pour la promesse, cet engagement,

Merci pour l'Esprit pour son encouragement,
Merci pour l'humilité, pour l'acceptation,
Merci pour la simplicité et le pardon,

Merci pour la provende qu'offre ton secours,
Merci pour le réconfort qu'apporte l'amour,
Merci pour cette joie, cette espérance,
Merci pour les rires de notre enfance,

Merci pour cette alliance éternelle,
Merci pour l'annonce de cette Nouvelle,
Merci pour la promesse, cet engagement,
Merci pour l'Esprit pour son encouragement,

Merci de briser le sceau des servitudes,
Merci pour cette foi, cette certitude,
Merci pour ce que tu nous mets au fond du coeur,
Merci car de nos vies tu es le Seigneur.

Merci pour cette annonce universelle
A travers les âges, l'alliance nouvelle
S'adresse à nous tous qui sommes des hommes
Nouveaux parce que par sa grâce Il pardonne

Cet Esprit toujours à l'oeuvre parmi nous
Pour ouvrir les portes, les barrières, l'effroi
Qui nous bloque et rend stérile notre foi
Par l'étude trop souvent nous tuons en nous

Cette foi qui repose sur la puissance
De l'amour de la Vie et de l'espérance
Qui nous assure pleinement de cette paix

Que nous demandons avec persévérance
Pour les autres eux mêmes avec constance
A celui qui sera qui est et qui était.

Je dis merci, pour la rosée du matin,
Suspendu aux blanches brumes de nos étangs
Qui gardent dans leurs coffres les ors du couchant,
L'argent de l'aube et les perles des chagrins

Oui merci, pour le fil du temps, le fil de l'eau,
Le fil de l'histoire qui nous fait ces cadeaux
De jours vides de jours creux, l'envie de vivre
Et tous ces chemins que nos pas pourraient suivre

Merci pour ces rêves qui remplissent nos nuits
D'un peuple sans mémoire, sans trace d'oubli
Pour les contes, les cris, et cette prière

Merci, merci, pour tous ceux qui sont nos frères
Pour cette nouvelle, pour ce présent d'espoir
Pour cette lumière qui brille dans nos soirs

MERCI
Merci pour la patience et le pardon,
Pour cette liberté qui nous laisse choisir
Entre l'esclavage, l'égoïsme et Toi,
Pour l'espérance qui permet de dire ce "NON", nom

Merci pour ces larmes d'émotion, de plaisir,
De peine, de souffrance, j'en parle parfois. Jean parle par foi
Merci pour ton amour qui comme ce fleuve
S'écoule, irrigue les déserts de nos vies,

Merci pour cet amour, pour le jour qui se lève,
Pour les champs dont la plaine semble remplie,
Pour les notes de musique qui s'envolent

Comme nos joies qu'emporte un souffle de vent
Chargé d'histoire, de sens et de paroles,
De nos questions, nos décisions, et nos serments.

Je n'ai pas d'imagination, tel le miroir
De mes rêves, je ne puis voir que par les regards
D'amitié que d'autres posent sur le monde;
Sans forces, ni mouvement propre, je renvoie,

Au loin ce que je reçois de rires, de joies;
Rien n'est certain, les certitudes s'effondrent
Un jour, et notre combat quotidien est d'espérer
Toujours que l'aube revienne pour éclairer

Nos vies; comme le bois que ce feu dévore,
Je voudrais allumer une flamme au fond des yeux,
Quelques soient leurs reflets de couchant, d'aurore,

Qu'elle laisse, pour que nos regards voient plus loin
Que l'évidence, dans ce miroir sans tain,
Sans forme, sans argent, qui n'appartient qu'à Dieu.

Je crois en toi comme l'aube sait le jour
Car tu es en moi la source de l'amour

Il m'a donné de passer l'hiver
il m'a guidé hors de mon désert

L'étoile brille dans nos ténèbres
l'espoir l'habille, il porte nos misères

Il nous enseigne une loi d'amour
et nous on le traîne au devant d'une cour

Je voudrais te dire et pouvoir te chanter,
je voudrais leur dire qu'il est bon de t'aimer

Je veux dire et crier Ce n'est plus à supporter

Sans pardon, sans offenses et rien que le silence

Je voudrais te dire et pouvoir te chanter
et surtout rire pour ne plus pleurer

Je voudrais te dire et pouvoir te chanter
apprendre à vivre sans cesser de t'aimer

Je voudrais te dire et pouvoir te chanter,
je voudrais leur dire combien je puis t'aimer

A peine est-il né qu'il est pourchassé
Dieu tout puissant sous les traits du mendiant

A Francesco d'""

Que ne suis-je comme l'enfant, simple et pur,
Qui joue, court et rit dans la cour de l'école,
Comme l'oiseau qui chante, si haut, sur le mur
Des louanges qu'écoutent les fils d'Eole,

Comme la source au milieu des fougères
Penchées sur la naissance de ce ruisseau,
Tel un chemin qui s'ouvre devant mes frères,
La chanson acide que gardent les pipeaux

A l'ombre des cyprès où se couchent nos pas,
Où je voudrais tant, et pourtant, je ne suis pas,
Et loin de là, disponible, comme une eau,

Comme une source au milieu du désert,
Un feu de bois quand dans ta nuit il fait si froid,
Et qu'en vain tu cherches un gîte, un couvert

Mais comment te dire avec de simples mots
Les peines, les douleurs, les chagrins, la tristesse,
L'éclat de rire brisé en mille morceaux,
La nuit qui nous abandonne, nous délaisse

La lumière qu'un sourire a rallumé,
L'envie qui nous dévore en ogresse,
La vie qui chaque jour revient nous enfanter
Dans le silence qui étouffe les sanglots

Les cris et les pleurs qui nous tiennent en laisse
Il nous faut entendre le poids de tous ces maux
Les porter, apporter toute notre tendresse

Nos soins, notre attention, notre humanité,
Témoins d'espérance et d'une promesse
De bien plus encore pour le monde entier

L'amour est fort et fragile, une source d'eau vive auprès du potier
Entre ces mains tu es l'argile et l'eau peut te façonner

Je parlerais les langues des hommes maintenant
Je parlerais aux anges, et à tous les puissants
Je parlerais Mais sans l'Amour je suis rien
Qu'une cymbale, qu'un tambour retentissant
ref

Je donnerais ma vie, mon corps pour (être) brûlé
Je donnerais fortunes, mes biens accumulés
Je donnerais, Mais sans l'Amour je suis rien
Que manques et pauvretés, je n'aurais rien donné
ref

J'aurais la Foi l'Esprit et la connaissance
J'aurais la sagesse et toute la science J'aurais
Mais sans l'Amour je sais rien
D'expérience, je n'ai ni vie ni espérance.

refrain

Et Toi et moi en Nous, l'envie redouble
0 mon amour à Toi l'Etre d'être aimé
D'où vient alors l'angoisse qui souvent me trouble
D'être rejeté, nu faible, abandonné.

En pleine détresse, sur quel appui compter
Si le monde n'est que mensonges, illusions,
Peines et souffrances, tourments sans rémissions
Il n'y a plus d'espoirs auxquels se rattacher.

A travers les siècles, les chemins d'errances
D'un bois à l'autre, d'une main à l'autre,
Quelle somme d'amour et quelle souffrance

0 mon Dieu pas la mienne mais la Vôtre
Pour ranimer l'étincelle d'espérance
Et Vous rendre tout à nous, même tout autre.

Pourquoi ces zones d'ombre et de silence
L'envie, la jalousie, pourquoi la médisance,
Pourquoi toute cette méchanceté gratuite,
Pourquoi la cruauté des amours en fuites

pourquoi les pleurs sur le visage d'un enfant,
Pourquoi ce monde est-il si peu accueillant
Pourquoi les sourires vont-ils disparaissants

Que nous faudrait-il donc pour qu'au fond de nos yeux
Brille le feu de l'espoir allumé par Dieu
Une flamme de joie pour éclairer nos nuits,
Un feu d'amour comme un foyer, un abri

Pour que sèchent les larmes, s'apaisent les conflits
Que cesse l'alarme et l'indifférence
Pour vivre pleinement dans cette espérance.

N'écoute pas toujours tes habitudes
N'écoute que cette voix au fond de ton coeur
Celle qui te parle de tes inquiétudes,
De tes problèmes, de tes joies, de tes rancoeurs,

Sois libre en toi et saisis cette chance
La liberté de parler dans le silence
Plus qu'une légende, qu'une condamnation,
Plus qu'un cri, qu'un appel, que toutes nos demandes

Nos questions, nos manques, nos imperfections,
Les rumeurs qui courent, qui couvrent le monde,
Plus haut que toutes nos sirènes d'alarme,

Plus puissant que toutes nos peurs et nos armes
Plus loin que nos limites, et nos barrières
Retentit le murmure d'une prière.

Non rien ne T'est impossible, Tu changes les coeurs
D e pierre en fleuves d'amour, de prières
Quand la joie des chants s'élève vers Toi, Seigneur,
Tu abolis nos limites, nos frontières

Nos murs d'indifférence, d'intolérance,
D e mépris, de haine, de guerre. Et la mort
comme l'incertitude, le silence
N'ont plus de place. Ton amour est le plus fort,

Il a pardonné et Il a ouvert les mains,
Il a envoyé ton Esprit sur nos chemins,
Il a brisé ces liens qui nous avaient enchaînés,

Il nous aime tant qu'il nous a tous rachetés,
Il nous libère de nos peurs de nos péchés,
Il nous accueille si nous voulons l'accepter.

Merci à toi pour cette chanson nouvelle
Ce chant contre chant comme un nouveau cannon
Qui tonne, retentit à tous les horizons
Et y proclame que la vie est belle

Nous ne sommes rien sans la grâce de Ton Nom
Merci pour toute cette vie nouvelle
Comme une jeune pousse tendre et frêle
Qui aspire à plus de clarté et de lumière

Pour croître et grandir. De même qu'un désert
Verdit, fleurit, revit à la moindre pluie
Ainsi, aussi, sommes nous assoiffés de vie

De ce flot de paroles, source d'eau vive
Ce doux murmure qui monte de ces rives
Où s'allonge un chemin que nos pas suivent

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