des fleurs de tendresse

Poèmes d'espoirs

Entre nos rires, nos pauvres sourires gelés
Même si devant vous tout semble bien sombre
Si tu regardes à l'entour, tout autour de toi
Si l'important n'était visible qu'aux yeux; 
Toi, Tu restes, au fond de cette nuit, comme 
Au-delà du temps et de tous ces repères, 
Je t'en prie quitte donc ces jeux de hasard, 
Tu me parles, me questionnes, je t'écoute 
Il y a tant de choses à dire et à faire
Pour mon frère 
une petite priere qui monte vers toi
Meme Seigneur si toute la terre gronde
Regarde bien au pied de ces murs, de ces tours,
Voici qu'éclatent la joie et l'allégresse
D'un bout à l'autre du silence me parvient
Comme vous l'êtes, mes amis, mes amies,
Si je reprends la plume sans en avoir l'air
I left you, but for me you are not far away
des fleurs de tendresse

Entre nos rires, nos pauvres sourires gelés
Nos pleurs, nos sanglots et nos visages crispés 
De peurs, nos frayeurs, nos cris, l'indifférence, 
Au- delà de ces barrières de silence
Des déserts de nos relations de nos trahisons
Des limites que s'impose notre raison,
De bien plus loin que les regrets, les souvenirs 
Des îles perdues au large des débris

Par delà toutes nos illusions déçues
Toutes ces chansons, ces voix qui se sont tues 
Les songes les rêves qui se sont endormis

Aux champs des mémoires, dans l'argile des nuits 
Entre deux couches d'oubli, Malgré tout cela 
J'ai encore l'espérance, l'amour et la foi
des fleurs de tendresse

Même si devant vous tout semble bien sombre,
Et que votre horizon s'obscurcit d'ombres
Frappez des mains, chantez et dansez votre joie 
Car il n'y a plus de place pour le silence

Le Seigneur remporte la victoire, Sa Voix
Gronde, comme les vents, les torrents d'orages 
Comme une source au milieu du désert
Elle féconde la terre, lui rend l'espérance

Eclatez d'allégresse, partagez votre joie,
Cet amour, Son pardon et votre confiance
A la détresse du monde, offrez un choix

Au coeur de vos vies simplement par foi
Pour tous ces hommes qui sont aussi vos frères 
Soyez comme un phare, comme une lumière
des fleurs de tendresse

Si tu regardes à l'entour, tout autour de toi
Tout se perd en de fratricides combats,
Dans une vie sans plus d'espoir ni de joie,
Sans chaleur, dans la nuit, dans le vent, dans le froid,

Voilà que peu à peu ils sombrent dans l'oubli
La mort, la faim, de Kismajo en Baragna,
S ans aide, ni confort, réconforts ou appuis
La mort, la fin, de Sarajevo en Angola,

Où s'aigrit, périt ce qu'il nous reste d'enfant
Et de certitude que l'indifférence
Et le silence qui achève le Soudan
E lIe même sera morte notre espérance
Si pour le premier pas nous n'élevons la voix
Et une fois au moins ne proclamons notre foi.
des fleurs de tendresse

Il ne resterait plus une seule chance
si l'important n'était visible qu'aux yeux; 
Ces choses matérielles sans consistance,
Ne peuvent rendre les hommes que malheureux.

Au lieu de nous centrer sur nos propres vies, 
Renversons les priorités, donnons l'envie, 
Autour de nous, partageons, éclatons de joie, 
Que nous soyons pour les autres comme une lumière,
Pareils aux sources d'eau vive dans le désert, 
Aux pèlerins sans bagages, guidés par la foi, 
Devenus étrangers aux routes communes,

Qui reviennent comme des chemins sous leurs pas 
Pour mener, au-delà des vagues de dunes
Tous ceux que l'espérance ne quittera pas.
des fleurs de tendresse

Toi, Tu restes, au fond de cette nuit, comme 
Seule lumière d'espoir pour tous ces hommes 
Découragés, qui, déjà, ont baissé les bras, 
Ces amputés du coeur et qui ne le savent pas,

C eux qui abandonnent avant de commencer,
Ou qui désertent après s'être engagés,
Se disent des hommes, ne sont que des nombres, 
Leur vie entière se passe dans l'ombre,

Avant de disparaître, sans avoir vécu,
S ans un cri, sans un geste, à jamais vaincus, 
Isolés, naufragés par leur orgueil même,

Ils ne savent pas qu'ainsi tu les aimes,
Aussi faibles, lâches, méprisés, rejetés, 
Ingrats qu'ils soient, Tu commandes de les aimer.
des fleurs de tendresse

 

Au-delà du temps et de tous ces repères, 
De l'autre côté de l'ultime limite, 
Surmontant les souvenirs de nos frontières 
Abolissant les légendes et nos mythes,

Habitant les statues des cimetières 
Préférant le faible à une élite
Quand les porches des églises se délitent, 
Une rumeur sourde monte de la terre,

Le cri du sang bu par le sable du désert, 
Les muscles noués par l'effort de nos pères, 
Une plainte de vie monte de la mer,

Le travail et la souffrance de nos mères,
Un chant d'amour vibre et résonne dans l'air 
Quand vient la nuit, je sais où est ma lumière.
des fleurs de tendresse

Je t'en prie quitte donc ces jeux de hasard, 
Mon amie, tous ces visages, ces regards
Que tu poursuis, en vain, sur les apparences, 
Sans te demander à qui faire confiance,

Ni quelles sont tes motivations réelles 
Pour tisser des relations émotionnelles. 
As-tu réfléchi au devenir de l'autre?

S ais-tu si ses rêves sont aussi les nôtres
Ou tels des mirages ne sont-ils que fumées? 
Prends le temps d'établir, avant d'être blessée, 

Des relations profondes, pour qu'ainsi, après
Quelques temps, certaine de cet amour qui naît, 
Tu puisses dire "Oui, nous marchons tous les deux 
Sur ce chemin de Vie qui mène vers Dieu."
des fleurs de tendresse

Tu me parles, me questionnes, je t'écoute 
Crier tes angoisses, tes crises, tes doutes, 
Nier tes espoirs, tes désirs, ton attente, 
Pleurer de souffrance, d'inquiétude, de peur,

Te taire, t'isoler, t'anéantir pour ce temps. 
Tu sais qu'il n'y a aucune solution en
Ces grains de sable qui suppriment les heures 
0ù tu pensais pouvoir construire ton bonheur

Au cadran de ta vie règne la Nuit,
Sans espoir, au miroir des rêves, dans tes yeux, 
Je ne vois qu'un vide, qui te remplit d'ennui.

Regarde par ici. Ecoute-moi un peu.
Je voudrais te confier à l'un de mes amis
Simple, discret et au coeur de ta vie, Dieu.
des fleurs de tendresse

Il Y a tant de choses à dire et à faire
Il Y a tant à aimer mon frère,
Je n'en peux plus d'attendre,
J'ai tant de choses à prendre

Mais il n'y a plus de place pour ceux
Qui ont déjà baissé les yeux, 
Il n'y aura pas plus d'espoir 
Pour ceux qui ne rêvent plus le soir 

Ceux qui ont mis leurs coeurs en bandoulière, 
Ceux qui ne parlent que d'hier,
Ceux qui ne vivent pas demain,
Ceux qui ont trop ouvert les mains.

A ceux qui restent dans la vie 
Aux portes de nos nuits,
Qui nous regardent avec envie 
Depuis le seuil de l'oubli,


Je dis qu'il y a tant de choses à faire, 
Qu'il est temps de les aimer mon frère, 
Il faut que l'on s'occupe d'eux
Et parlons leur un peu de Dieu.
des fleurs de tendresse

Pour mon frère 
refrain swingang:
Seigneur donne moi pour mon frère,
 une chanson d'amour
Une chanson d'amour pour mon frère,
 pour qu'il espère toujours
Et Seigneur, un jour je l'espère
 Il suivra Ta voie
Car Tu écoutes nos prières,
 Tu donnes la foi
Car Tu exauces nos prières
Tu nous rends la joie.

couplets voix basse, blusy, 
Quand la nuit est bien noire,
La terre est seule et sans espoir 
Voici que j'erre au fond de mon désert
ref
Au fond de mon désert
je ne sais plus quoi faire, 
Mes pas se traînent,
Je ne fais pas le poids.
ref
Si mes pas m'entraînent, 
Je plie sous le poids 
De toutes mes fautes 
Qui me soulagera?
ref
De toutes mes fautes, 
Qui donc me pardonnera 
Mais tu m'écoutes
Tu ne t'en va donc pas?
ref
des fleurs de tendresse

Si mi la ré, si sol do fa, 
si mi la ré si si mi la ré si sol do fa
Une petite prière qui monte vers toi, 
Une petite prière comme premier pas, 
Une petite prière vers l'au-delà, 
Une petite prière c'est toujours ça.

Des lumières d'espérances 
Qu'illumine notre enfance
Aux déserts de nos souffrances 
Où fleurissent les violences

C'est une prière d'un coeur qui a froid, 
C'est une prière quand tu t'en vas, 
Une petite prière qui nous rejoindra, 
Une petite prière qui ne s'oublie pas

Des chemins de la liberté 
Que nous avons désertés 
De ces chemins de vérité
Je voudrais vous parler

Comme une prière pour ici bas
Comme une prière dessous nos pas,
Une petite prière vous le chanter si Bien 

Une petite prière qui nous revient de loin
Des rives de l'envie 
Dont je veux me détourner 
Aux rives de nos vies
Où je voudrais retourner

C'est une prière pour toi et moi, 
Une petite prière pour ce temps là 
Une petite prière qui me rappellera, 
Cette petite prière que tu me chantas

 

des fleurs de tendresse

Même Seigneur si toute la terre gronde
Par Toi Seigneur nous changerons le monde
Pour Toi Seigneur brillera la lumière
Comme Toi Seigneur, le pardon sera pour nos frères
Dans le silence de la nuit
Voici qu'une étoile jaillit
Sur un monde à l'abandon
Voici que  se déverse le pardon
ref

Dans le silence de nos coeurs 
Toutes nos fautes nos rancoeurs 
Et nos renoncements d'hommes 
Voici que Tu nous pardonnes
ref

Dans le silence de nos vies 
Entre les rejets et l'oubli
Eclairant nos horizons ternes 
Voici que jaillit Ta Bonne Nouvelle
ref
des fleurs de tendresse

Regarde bien au pied de ces murs, de ces tours, 
Aujourd'hui ici mais en fait depuis Rome,
Au coeur de nos villes, bat comme un tambour, 
Ecoute, entends-tu comme il résonne,

Comme il martèle les vides, l'espace,
Les rues, les porches, de place en place
Comme l'insecte obstiné qui bourdonne
Son désir de parfum, et son envie de fleurs

Du fond de la nuit il appelle les hommes
Vers la lumière, la clarté d'un nouveau jour
Qui ne soit plus fait de haine et de rancoeur

Pour qu'il ne soit ni cris, ni indifférence
Mais au contraire, tout imprégné par l'amour,
Le pardon, le début de la délivrance.
des fleurs de tendresse

 

Voici qu'éclatent la joie et l'allégresse
Dans les chants de la fête. Il n'y a plus de place 
Pour le chagrin, les pleurs ou le silence
Qui cachent les abandons ou la tristesse

Mais si tes pas t'entraînent sur d'autres sentiers 
Comment ne pas s'interroger, s'étonner
De ce que tu découvres, de ce qui t'est donné 
Sans conditions, sans crainte d'être rejeté

Au long de ta vie, tout au long du chemin
Des portes seront pour toi grande ouvertes
Sans questions, ni prérequis, car d'avance

Je peux t'assurer de ton appartenance
A cette grande famille qui t'ouvre les mains
Son coeur, son pardon, pleine d'amour, d'espérance.
des fleurs de tendresse

D'un bout à l'autre du silence me parvient
La chanson lancinante et monotone
Du temps qui fuit et qui jamais ne revient
Pourtant comment pourrais-je jamais T'oublier

Des calendriers qu'effeuillent les automnes
E n heures égales qu' égrène l'horloge
Aux retournements cycliques des sabliers
Aux va-et-vient des grains entre les deux loges

L'oscillation indécise du pendule
Qui hache l'espace de place en place
D'échappement du balancier à son axe,

Aux ancres qui grincent autour des rotules
Comme même le soleil fuit vers d'autres cieux
Il n'existe pas de temps pour l'Amour, pour Dieu.
des fleurs de tendresse

Dis-nous à quoi donc nous servirait de crier,
Se lamenter, se maltraiter, se fatiguer
s'il n'y a pas d'autre issue, d'autre fin
Que d'offrir, d'ouvrir, tendre ses bras et ses mains

Sans aucune arrière pensée ni calculs
si personne ne répond, ni ne prend ta main
Toi, sois toi-même, tais-toi, sois sans rancune
Sans envie autre que n'être qu'un témoin

Non point d'un passé ou de gestes oubliés
Mais d'un temps qu'il nous faut annoncer au monde 
Pour qu'enfin il n'ait plus d'autre réalité

Sans plus d'autre envie, ni pleurs, ni peurs ou peines 
Mais empli de joie, d'une paix profonde
De celles que partagent tous ceux qui s'aiment
des fleurs de tendresse

Comme vous l'êtes, mes amis, mes amies,
Seul je ne suis rien qu'une poussière de vent 
Emportée dans le tourbillon de la vie,
Que feuille morte à la dérive du temps,

Qu'une chance perdue en peurs secrètes
Hais tous ensemble, nous sommes la tempête
Que rien n'arrête, nous sommes l'ouragan
Quand il balaie les îles endormies

Que bercent les langueurs de tièdes alizés
Que ce souffle même pousse toujours plus loin, 
Enveloppés, portés, débordés, emportés

Par ce flot d'amour qui ne connaît pas de fin 
Conduits sur ces chemins jusqu'aux extrémités
De la terre, pour n'y être que des témoins.
des fleurs de tendresse

Si je reprends la plume sans en avoir l'air
Sans ombres, sans détours je voudrais te dire
Ce que trop souvent je fus contraint de taire,
Que se soient mes craintes ou plus encore mes désirs,

L'éloignement, la solitude, le désert
Et la peur de ne jamais revenir,
L'oubli, la fuite du temps et des souvenirs
Qui nous portent, nous emportent, nous enterrent

Quand à la fin, l'effort, la faim, la misère
Tordent notre dernier et triste sourire
Que peuvent encore nous arracher les Kères

Quand vivre loin de Toi est proche de finir 
Pourquoi se lamenter, pleurer ou bien gémir
si les portes s'ouvrent, ô douce Lumière.
 
des fleurs de tendresse
left you, but for me you are not far away,
As my hearth is filled with tears and love that burn
Like fire all my past, even if return
Is not for sure, I know there is only one wat

To go, through life till the end, in war and in peace,
From time to time submerged by sorrow
Or overwhelmed with joy, seeking some relief
Or like a Candle shinning through the window

In the midst of the night, being a sign of hope,
Whether the sun shine or the rains falls on the lawn,
Wherever I might be, Isend you this note

To all of you, you I may call friends,
for all your gifts or just a smile alone,
I thank you for all, before my journey ends

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